Historique du projet

Poussé par le succès obtenu de son 1er court-métrage « Ma forêt » il écrit son premier court- métrage de fiction nature intitulé « Regard d’enfant ».

Après un long travail d’écriture, il se retrouve confronté à la dure réalité du cinéma nature qui ne semble pas être le domaine de prédilection des Sociétés de production wallonne...

A l’heure d’aujourd’hui dit-il, la culture souffre et les pouvoirs publics ne laissent rarement place à des projets comme le mien qui visent à montrer les beautés qu’il y a dans la nature et dans l’homme. 

Soutenu par l’Association « Humanité et Biodiversité », présidée par le célèbre astrophysicien Hubert Reeves, Sébastien Pins assure alors à lui seul la production de son film et décide de lancer un financement participatif via kisskissbank.

La somme à atteindre est vite trouvée et même l’actrice Marion Cotillard se joint au projet. Les dates de tournage sont placées.  

Lors du 1er jour de tournage, son équipe d'étudiants doit faire face à des conditions climatiques extrêmes totalement imprévues. Ces conditions, malgré la bonne volonté des étudiants, sont ingérables pour eux.

« La forêt avait véritablement imposé ses règles » confie Sébastien Pins  

Devant ces événements, Monsieur Pins doit prendre la décision, bien malgré lui et avec grande tristesse, d’annuler le tournage pour ne pas être confronté à l’extrême et n’avoir plus aucun moyen financier pour réaliser son projet. 

Il a donc réécrit le projet en tenant compte davantage de certaines contraintes techniques et logistiques. Ainsi la réécriture du projet c’est avérée bien plus riche que la version précédente. 

Avec le cinéma comme outil, dit-il, j’essaye de reconnecter l’homme avec la nature, de lui rappeler des valeurs justes que notre société trop matérialiste efface peu à peu. Le projet, vu ses contraintes techniques, devrait être maintenant porté par des professionnels dans chaque chef de poste. 

Après plusieurs rencontres avec des chefs opérateurs belges, il se rend compte qu’un directeur photo spécialisé en tournages forestiers et milieux hostiles est indispensable.

Une fois cette personne trouvée, le budget nécessaire à la réalisation de ce film est donc été réévalué avec des professionnels. L’objectif financier se trouve maintenant encore plus difficile à atteindre.

Un réalisateur, ajoute-t-il, qui croit en son projet et aux valeurs qu’il véhicule ne baisse jamais les bras et continue à avancer même si des obstacles se dressent devant lui. Lorsqu’il les franchira, il en sortira lui-même plus grand.

Depuis plus d’un an, Sébastien Pins consacre toute son énergie à la recherche de sponsors.

Différentes Associations et personnes publiques ont déjà rejoint le projet.

L’ensemble de ces partenaires connaissent la passion et l’engagement du réalisateur. Il les a touchés par sa conviction ; en effet, une œuvre cinématographique peut amener le public à s’engager vers une action positive en faveur de la préservation des forêts de notre planète…